Très belle écriture sur fond de musicalité.
Geneviève K.
Ta "Plume vagabonde" a charmé aujourd'hui de grands moments d'inaction bienheureuse et je trouve finalement très agréable le panachage poésie/prose.
Les huiles, pastels et aquarelles de Jean-Pierre George sont très beaux... souvent émouvants. C'est un grand artiste !
Quant à la Poète... Elle aussi est une grande Poète ! Et si discrète...
J'y reviendrai mais d'emblée la forme parfaite, comme toujours, me séduit ; le fond, une palette d'émotions, parfois très vives, d'autant plus profondes qu'elles se cachent souvent sous la pudeur. ". Le thème de l'enfance est bien fait pour me toucher... et l'humour contenu dans le "Départ en vacances" - raté - m'a beaucoup amusée.
Marie-Claire M.
J'ai eu ce matin une très agréable surprise de recevoir un recueil de ces très jolis poèmes qu'il me plait de lire, s'agissant de mots remplis de tendresse et d'amour.
Mais comment t'y prends-tu, Nicole, pour dire des choses si simples et si joliment dites ?
Roger J.
J’ai lu ton livre avec grand plaisir! Je ne saurais te dire ce que je préfère.
Après la poésie, j'ai lu la prose en gardant le balancement et le rythme du poème.
J’adhère totalement à ton style que j’admire !
Bravo à toi !
Camille A.
Je tiens, une fois de plus, à te féliciter : ton recueil est un petit bijou à faire pleurer d'émotion.
Adrienne V.
j'ai adoré "Ma plume vagabonde" qui évoque plein de sensations enfouies très loin dans ma mémoire.
Alors pour cela, un grand merci !
Hélène Sch.
Pour me détendre, je viens de lire d’une seule traite ton recueil :
« Ma plume vagabonde ».
C’est un vrai régal dans la forme comme dans le fond qui ma ’empêché de le laisser avant la dernière page , le dernier mot ( de Léo Ferré).
Tu féliciteras aussi les illustrateurs Philippe et Jean-Pierre qui font preuve de tant de talents qui collent parfaitement aux textes en apportant de la couleur et de l’espace de réflexion.
J’aime aussi l’alternance de poèmes et de nouvelles en prose poétique à l’exception de "Il faut que je vous dise" qui est un vrai poème en prose digne d’un Baudelaire. Il marque aussi un tournant dans le recueil entre l’enfance et le temps accompli.
"L'Internat" et "le viol" sont des textes durs qui frappent dans l’océan de tendresse.
Ta poésie me réconcilie avec la poésie classique car si les règles prosodiques sont parfaitement respectées, tu évites le piège des archaïsmes et autres diérèses.
Ta plume effleure le cœur pareille à l’ange veilleur.
Vocabulaire riche où chaque mot se place en harmonie sur l’arbre en couleur de l’émotion.
Un grand Merci pour ce partage qui me va droit au cœur .
Vifs bravos !
Pascal L.
Quelle joie de découvrir la plume de Nicole vagabondant en prose ! Prose qui ne peut être qualifiée que de poétique, tant le lecteur y retrouve la musicalité, la finesse et la profondeur de ses poèmes en vers. Tel est
le vrai talent : surprendre, toujours, par de nouvelles facettes de créativité et de richesse d’expression.
Dans ce recueil, dont l’architecture est remarquable, Nicole nous entraîne une fois de plus dans le sillage de l’humanité vraie, au fil de ses écrits en prose et en vers rayonnant de chaleur humaine, d’émotions profondes et des valeurs du partage. Ses mots reflètent des moments forts de vie, de l’enfance à l’âge mûr, dans les joies et les tourments de notre monde actuel, les fixant au-delà du temps et de l’espace et les faisant battre à jamais dans nos cœurs.
Les illustrations de Jean-Pierre GEORGE et Philippe BOURGOIS soutiennent avec justesse et élégance les images mentales créées par la plume de Nicole.
Quelle sera la future étape créative, Nicole ? J’attends avec impatience le rendez-vous à venir…
Sylvie WEISSE, amie en poésie,
Déléguée Régionale Lorraine Grand Est
de la Société des Poètes et Artistes de France.
Mon petit-fils adorable, Loup de son prénom, c’est bien lui que j’ai lu dans
« Ma Trousse » et « Le Cartable »,
ce qui m’a ramené avec émotion et plaisir une soixantaine d’année en arrière, en souhaitant qu’il ressente lui aussi cette douce chaleur prodiguée par un maître ou une maîtresse aimant(e) et impliqué(e).
J’ai beaucoup apprécié la lecture de votre dernier recueil de poèmes, tout en délicatesse et en finesse, qui a trouvé sa place sur ma table de nuit,
pour une respiration pré-nocturne.
Jean M.
J'ai d'abord feuilleté vos deux derniers ouvrages comme un gourmand regarderait la devanture d'une pâtisserie , avec gourmandise.
Puis, j'ai voyagé, de-ci de-là, dans quelques-uns de vos poèmes (toujours en belle adéquation avec leurs illustrations).
Je ne saurais parler de vos différents recueils avec le même brio que ceux qui en ont fait les préfaces mais sachez tout simplement que j'éprouve beaucoup de plaisir à vous lire, à lire votre belle poésie.
Christian L.
Ce que je peux te dire aujourd'hui au niveau du recueil, c'est que j'y ai trouvé une certaine variété qui ressemble à un panorama de vie dans ses diverses composantes : transparence, sincérité, peut-être oserai-je le mot "offrande".
Ce qui me frappe dans ma perception des choses (due à mon propre cheminement actuel) c'est que mon intérêt s'est particulièrement porté sur les textes en prose dans lesquels justement cette variété, cette sincérité, cette forme d'offrande sont les plus explicites.
Et puis, je te dirai très honnêtement que la poésie quand, dans l'authenticité de ses expressions, de ses cris, m'apporte très étrangement une douleur parfois violente qui me fait du bien, j'y ressens tout le mystère d'une vie qui refuse toute fatalité. C'est le cri d'Aragon !, entre autres...C'est l'agenouillement devant les mystères fondateurs, c'est le regard du Père, de la Mère, la protection et l'envoi de la Reine. Toutes choses devant lesquelles, comme le concevait le grand Pascal, on peut percevoir en même temps la grandeur et la petitesse qui animent cet Homme, conscient d'être un milieu entre rien et tout.
J'attends de retrouver mes capacités de lecture active, moins émotionnelle, pour revenir sur ce recueil dont j'ai la sensation un peu confuse qu'il marque une sorte de respiration, peut-être le passage à un autre chapitre du livre de vie dans lequel s'épanouit le regard poétique.
Porte toi bien, du mieux que la vie puisse offrir chaque jour et à bientôt.
Gérard D.